Cloitrés dans nos appartements, livrés au désappointement et aux pertes de repères, on se réfugie souvent dans l’alcool, dans une virtualisation des activités, on se livre à une utilisation excessive des réseaux sociaux, afin de gérer notre incompréhension et notre difficulté de gestion de la désinformation. Par peur ou par crainte on ne sait comment réagir. La ville est vide presque sans activités, l’effondrement est-il proche ? Que faire : collapser ou y croire ?