La récente pandémie a retiré le peu de libre-arbitre qu’il restait encore à l’homme occidental. Les États ont profité de cette crise pour renforcer le contrôle sur leurs citoyens, mais ces derniers, déjà muselés par l’industrie des biens de consommation, les médias et la publicité n’ont pratiquement pas réagi à cet assujettissement supplémentaire. La démocratie requiert des citoyens qui pensent et qui débattent. Or, la seule issue de cette crise semble être le retour aux addictions de consommation.